Une récente découverte prometteuse a été effectuée par rapport au cancer du sein. Il s’agit d’un gène pouvant restreindre le danger d’être touché par ce cancer. En effet, le changement de l’activité d’un gène pourrait avoir comme effet positif de diminuer les chances d’avoir un cancer du sein. Sur le long terme, cette trouvaille pourrait offrir la possibilité de concevoir un nouveau médicament à destination de ces dames.
À savoir sur le cancer du sein
Si on se fie à l’Assurance maladie, près de 2 600 situations de cancer du sein pourraient être causés par le tabagisme chez les femmes de trente ans et plus. Pratiquer régulièrement un sport baisse le danger d’avoir ce cancer à la suite de la ménopause.
En 2018, le dépistage d’environ soixante mille cancers du sein a eu lieu si on prend en compte les données de l’INC (Institut national du cancer). Toujours cette année, 12 146 morts de cancer du sein ont été dénombrés (données signées Santé Publique France).
Le gène SULT1A1
Ainsi, cette découverte par rapport au gène SULT1A1 est plus que prometteuse. Dans les facteurs de risque, il existe l’âge – environ 80% des cancers du sein surviennent une fois l’âge de cinquante ans dépassé. Il y en a d’autres tels que le tabagisme, une mauvaise alimentation et l’alcoolisme.
Il existe également les prédispositions génétiques. Sur cet aspect, des experts ont réalisé une trouvaille : modifier l’activité d’un gène pourrait diminuer le danger d’avoir un cancer du sein. Leurs recherches sont apparues dans la revue nommée « Communications Biology ».
Le gène SULT1A1 permettrait aux professionnels de santé de diminuer le danger de cancer du sein, surtout si elles possèdent une mutation du gène BRCA1. Les femmes ayant un gène BRCA1 et ayant des segments absents sont les profils pouvant le plus être touchés par un cancer du sein. On ne sait pas pourquoi actuellement.
Effectivement, pour les cancers du sein et de l’ovaire, les variants pathogènes posent des soucis conséquents lorsqu’ils concernent les gènes BRCA1 et BRCA2. Si on se fie à une étude parue il y a cinq ans dans la revue spécialisée nommée JAMA, ils engendrent une hausse du danger d’avoir un cancer de 70% pour le sein et d’environ 30% pour l’ovaire. Par conséquent, durant leurs recherches, les experts se sont penchés sur 26 000 femmes qui possédaient des mutations de ces gènes du cancer du sein, BRCA1 et BRCA2, et qui présentaient un danger conséquent d’être touchées par cette maladie.
Un nouveau médicament pour diminuer les dangers de cancer du sein
Les spécialistes ont découvert que des seuils moindres de la protéine conçue par un autre gène, nommé SULT1A1 et possédant une fonction essentielle par rapport au métabolisme des agents cancérigènes, diminuent le danger de cancer du sein, essentiellement chez les femmes ayant une mutation des gènes BRCA1 et BRCA2. Pour arriver à cette conclusion, les experts ont stoppé l’activité du gène SULT1A1 dans les cellules mammaires.
Avec cette trouvaille, les spécialistes ont continué leurs travaux pour concevoir un nouveau médicament qui stopperait l’activité du gène SULT1A1 afin de diminuer les dangers d’avoir un cancer du sein, essentiellement pour ces dames ayant une mutation du gène BRCA1 et BRCA2.
Cette découverte pourrait être déterminante. À l’heure actuelle, la stratégie de diminution des risques pour un tel cancer (pour les femmes possédant des mutations des gènes du cancer du sein BRCA1 et BRCA2) se nomme la mastectomie. Or, cette opération a de lourdes conséquences physiques et mentales.