La paludisme, également nommé malaria, engendré le décès de 400 000 individus tous les ans, surtout des enfants âgés de moins de cinq ans. Un nouveau protocole, qui mêle le tout premier vaccin et des antipaludiques de manière saisonnière, demeure performant pour éviter des morts. L’Organisation Mondiale de la Santé conseille vivement l’utilisation du vaccin chez les plus petits.
Un défi majeur en Afrique
La malaria est une maladie qui représente un combat sanitaire et humain sur le continent africain, avec une prédominance majeure dans le Sahel, mais également dans d’autres zones humides internationales. Donnée à cause d’une simple piqûre de moustique, cette maladie est engendrée à cause de la prolifération des globules rouges via un parasite de genre Plasmodium. Cela peut engendrer des symptômes lourds, pouvant engendrer le décès de la personne malade. L’Institut Pasteur effectue un rappel : le paludisme est la première endémie parasitaire dans le monde. Il s’agit d’une endémie étant un problème de santé ancré dans une zone spécifique. L’étude la plus récente par rapport à la malaria à l’international de l’OMS, apparue l’année dernière, dénombrait 229 millions d’individus touchés par le paludisme et près de 409 000 morts causées par le paludisme en 2019. La malaria touche essentiellement les petits de moins de cinq ans.
Un écrit, du 25 août 2021, dans le célèbre journal nommé « The New England Journal of Medecine » offre une espérance par rapport au contrôle de la malaria. Durant un essai clinique randomisé, cette étude affirme que mêler l’inédit vaccin anti-malaria avec des médicaments contre cette maladie, et de l’effectuer avec une dose de rappel avant la saison pluvieuse (puisqu’il s’agit d’une maladie saisonnière), « peut de façon substantielle diminuer les cas de malaria engendrant des dangers mortels dans la zone du Sahel ».
Le protocole de combinaison est le plus performant
Début octobre de cette année, l’OMS a conseillé l’utilisation massive de ce protocole vaccinal chez les enfants de l’Afrique sub-saharienne. Le directeur du groupe a affirmé qu’il s’agissait d’un instant historique. Un vaccin antipaludique pour les enfants, qui soit performant ainsi que sans effets secondaires conséquents, est le résultat d’une longue attente. Ce dernier représente une progression notable par rapport à la santé des enfants. L’usage de ce vaccin avec les outils actuels vont permettre une prévention efficace du paludisme. Cela pourrait éviter la mort de dizaines de milliers de jeunes vies annuellement.
L’essai clinique se sert de l’inédit vaccin existant contre la malaria : RTS,S/AS01E, rencontré sous la dénomination de marque Mosquirix. Un avis positif avait été donné par l’Agence européenne des médicaments, il y a six ans, après un essai clinique de phase 3 de qualité et aux conclusions dévoilées dans le célèbre revue scientifique nommée « The Lancet ».
Le récent essai clinique aux conclusions apparues en août de cette année a été effectué sur six mille enfants, âgés de 5 à 17 mois, habitants en Afrique au Burkina Faso et au Mali. L’étude s’étale sur trois ans car la saisonnalité de la malaria a un effet sur l’évaluation des performances de cette stratégie. Il y avait trois groupes. Les voici : antipaludiques classiques, l’autre ayant seulement le vaccin, et un autre recevant le mélange des deux.
Un vaccin contre la malaria efficace à 70 %
Le vaccin est performant face à près de 70 % des formes les plus lourdes, engendrant la mort, de la malaria. La conclusion de cet essai clinique est que ce dernier est une franche réussite. Pour ce qui est de la population analysée, le mélange du vaccin et des antipaludiques de façon saisonnière, avant la saison des pluies, a offert la possibilité de diminuer les formes compliquées, et par conséquent les phénomènes cliniques, les hospitalisations et les morts, d’environ 70 % en comparaison à l’usage unique des médicaments antipaludiques – la stratégie qui est de nos jours généralisée en Afrique au Mali et au Burkina Faso. Finalement, les personnes atteintes d’infections ont connu une diminution de 63 %, les hospitalisations de 71 %, alors que les morts ont baissé de 73 %.