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Quel type de narcissisme chez les nouveaux leaders politiques ?

Jean-François Allilaire Publié par Jean-François Allilaire
20 avril 2018
dans Politics
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Quel type de narcissisme chez les nouveaux leaders politiques ?
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Le xxe siècle aura été celui de la prise de conscience des risques du progrès scientifique (guerre mécanique) en particulier (péril nucléaire) et en fin de siècle du péril écologique que fait peser le comportement humain sur notre environnement.

Y a-t-il crise de la modernité et du progrès ?

La science est désormais regardée comme un danger pour l’homme de même que l’homme lui-même devient un danger pour la collectivité avec ses comportements de consommation et d’exploitation.

Le progrès est donc devenu suspect, ce qui alimente la tendance au retour vers le passé et boucle le feed-back du repli sur soi. Or la croyance au progrès a toujours été très directement liée à la philosophie et au programme des Lumières. Ce programme des Lumières peut être résumé comme suit : il s’agit de façonner des individus libres et rationnels grâce à l’éducation, l’usage de la raison, et le rejet des croyances. Face à cette crise du progrès, les individus déjà de plus en plus homogénéisés par la mondialisation et le métissage développent des réactions diverses allant du désarroi à la colère en passant par le déni. Ces individus en crise deviennent la proie de deux grands mécanismes humains bien décrits par Freud et par René Girard :

Pour Freud, c’est devant cette remise en question identitaire le repli sur « le narcissisme des petites différences » (Baldwin) qui va puiser ses sources dans des postures du passé.

Pour Girard c’est le déploiement du désir mimétique, le recours au bouc émissaire pour nommer et expulser le malaise, la polarisation du ressentiment collectif et l’évacuation de la violence sur l’extérieur.

Tout ce mouvement réoriente les peuples vers les valeurs du passé et la recherche des coupables (la mondialisation, la finance, l’étranger…) ou encore dans nos sociétés européennes et au-delà, toutes les sociétés qui ont repris le modèle finalement oligarchique au sein duquel seule l’élite est appelée à profiter de la vie grâce à l’effort collectif de la masse qui n’est pas appelée à se régaler avec l’élite, mais seulement à y aspirer, à l’envier et bientôt à la détester. Aujourd’hui, la mondialisation promet à tous une citoyenneté cosmopolite pour tous, mais, ne la donne dans les faits qu’à une élite. Du coup, la plus grande masse se sent flouée et se vit comme « invitée indésirable au festin », compare et envie, et n’en retire que du ressentiment, de la rage, avant la colère et la mise en acte de la violence.

À notre époque ou la postmodernité se marque par une polarisation sur le présent et un refus de regarder l’avenir, on peut penser que c’est justement la mise en cause du progrès comme finalité et comme projet pour l’avenir qui dicte dorénavant les choix individuels et collectifs : Ressentiment contre tous les profiteurs, mise en conflit permanent du consensus collectif au nom des minorités, rejet de la norme et appel à l’autorité pour régler la crise et éviter la violence.

On peut ainsi en déduire une aspiration des peuples à se retourner vers certaines valeurs du passé :

– défense des valeurs traditionnelles (nation, famille, autorité morale…) ;

– foi dans l’ordre, la hiérarchie, la discipline ;

– pas d’interventionnisme sauf si crise ;

– politique de défense musclée ;

– proches de : fondamentalisme, réactionnaire, intégrisme, traditionalisme.

Thèse d’Émile Malet :

Le xxie siècle est mal parti. Les coups de boutoir politiques, culturels, religieux et socio-économiques auxquels nous assistons provoquent un durcissement des relations internationales, un enchaînement conflictuel et le déraillement de la mondialisation, sans qu’on ne perçoive immédiatement les conséquences idéologiques, stratégiques et politiques. Sauf que nous observons un affaiblissement constant de la démocratie politique et une dérive autocratique, voire populiste et nationaliste, sous certaines latitudes. Ce malaise quasi général n’a pas été perçu, faute de discernement politique et parce que le political connectness qui instrumentalise la société du politique et de la communication n’a rien vu venir. Comment s’étonner dès lors de la récupération par le nouveau conservatisme, qui à défaut d’un véritable corpus idéologique, dispose de l’impétuosité de ses têtes d’affiche : Donald Trump, Vladimir Poutine, Recep Tayyip Erdogan, Xi Jinping. Il serait illusoire de croire que cette « bande des quatre » à laquelle d’autres spécimens politiques peuvent être associés soient prêts à se retrouver sur une ligne politique commune, ils partagent toutefois des objectifs stratégiques et leur nouveau conservatisme est en train de faire école. Imperceptiblement et sans qu’on y prenne garde, nous sommes passés de la guerre idéologique (est-ouest, capitalisme-communisme, droite-gauche) à des rapports de forces entre nations conduits par des dirigeants déterminés et autoritaires.

Pour résumer : Notre époque est marquée par l’apparition de nouveaux leaders qualifiés de nouveaux conservateurs, tels que Trump, Poutine, Erdogan, Xi Jinping et quelques autres.

On assiste à une dérive autocratique, populiste et nationaliste, menée contre les menaces collectives entraînées par les déraillements de la mondialisation, par des leaders qui ont en commun des objectifs stratégiques proches et font école.

On est passé de la guerre idéologique (est-ouest, capitalisme-communisme, droite-gauche) à des rapports de forces entre nations antagonistes conduites de façon autoritaire.

Qu’est-ce que le conservatisme en politique ?

C’est l’attitude ou tendance de quelqu’un, d’un groupe ou d’une société, qui se définit par le refus du changement et le recours à la référence sécurisante à des valeurs ou des structures immuables.

Opinion ou état d’esprit de ceux qui refusent les innovations politiques, sociales et même techniques et qui soutiennent les partis conservateurs. Ils s’opposent au progressisme.

Philosophie politique en faveur des valeurs traditionnelles et qui s’oppose au progressisme. Les cultures ayant des valeurs différentes, les conservateurs ont en fonction de leur culture des buts différents. Mais ils promeuvent tous la défense ou le retour aux valeurs anciennes, à des valeurs établies. L’accent est mis sur la tradition comme source de sagesse. Pas d’idéologie ni de programme utopique

De quel type de conservatisme s’agit-il ?

Projets et objectifs stratégiques : c’est le retour à la grandeur et à la puissance du passé, avec refus du déclin ; c’est aussi le refus des influences extérieures et celui de la dilution identitaire avec recherche de la purification.

On parle de « Guerre de civilisation » (US/Arabes, euros, Latinos) (Russie/non-russes ? ) (Chine/non-Chine ? ) Erdogan (Islam/ ?) ou encore de « guerre civile globale ».

Quel est le moyen politique : c’est la fermeture et la clôture du pourtour collectif, avec ostracisme de l’ennemi de l’intérieur (la cinquième colonne) et désignation du « bouc émissaire ».

Quel peut être l’agent de cette politique ? Ce ne peut être qu’un dictateur populiste surfant sur le ressentiment, le nihilisme, la frustration, les croyances irrationnelles, l’aliénation et la perte d’identité. L’autoritarisme devient la seule méthode possible pour homogénéiser, imposer le retour à un infantilisme passif, et surtout canaliser la colère individuelle et collective.

La question que j’aimerais maintenant poser est : Qu’ont en commun les quatre responsables-leaders politiques en ce début de xxie siècle que sont Trump, Poutine, Erdogan et Xi Jinping ?

On conviendra facilement de six traits communs :

  1. Leur charisme, leur narcissisme (leadership narcissique recherchant l’admiration) de meneurs, de modèles et de protecteurs de la masse ;
  2. Leur populisme qui cherche à « shunter » les élites mondialisées ;
  3. Leur rejet de l’intrusion de la mondialisation considérée comme danger ;
  4. Leur utilisation de l’étranger comme bouc émissaire et victime désignée ;
  5. Leur comportement d’autorité quasi hypnotique ;
  6. L’utilisation d’une idéalisation d’un passé à retrouver.

Quelques clefs apportées par Freud :

Freud et la psychologie de masse :

Freud s’intéresse aux phénomènes de masse à la suite des massacres de la Première Guerre mondiale (malaise, psychologie des masses et analyse du moi, Moïse).

Il cherche à lier la psychologie sociale avec la psychologie individuelle telle qu’il la conçoit comme psychologie des profondeurs.

Il affirme que l’autre entre constamment en ligne de compte dans la vie psychique des individus.

Il énumère les différentes figures de l’altérité : Comme modèle ou prototype ; comme objet ; comme soutien ou comme adversaire.

Retour au tribal : La psychologie de masse traite l’homme individuel en tant que membre d’une lignée, d’une tribu, peuple, caste, d’une corporation, d’une institution ou en tant qu’élément d’un tas ou d’une masse de gens qui s’organisent en masse momentanément à telle ou telle fin.

Il est critique vis-à-vis de la notion de pulsion grégaire ou pulsion sociale qui ne tiendrait qu’à la situation de masse et ne se manifesterait dans aucune autre condition.

Il rappelle la conception de Gustave Le Bon sur l’âme des masses : D’un côté abaissement de la capacité critique, absence de doutes et d’incertitudes, propice à l’intolérance, soif d’illusion et indifférence à la vérité. En résumé propension à fantasmer davantage qu’à raisonner, sensibilité à la magie des mots et des images et sensibilité à la répétition. De plus effervescence de l’impulsivité à laquelle elle se livre sans réserve et sans délai ; foi intolérante en la force et l’autorité

Enfin les individus en foule pratiquent un mode de pensée peu critique vis-à-vis de la contradiction et s’embarrassent peu de logique.

Freud constate que la conception de G. Le Bon est cohérente avec sa psychologie des profondeurs. Il souligne l’analogie avec la psychologie des enfants, celle des sauvages, et enfin celle du rêve.

  1. Le Bon assimile l’état de l’individu dans la masse à un état d’hypnose, avec sa capacité d’abnégation, de désintéressement, de dévouement, à un idéal et une tendance à sacrifier facilement son intérêt personnel à l’intérêt collectif. Pour lui l’influence sur la vie psychique de l’individu passe par la contagion, suggestion, imitation, sympathie, induction des émotions qui gouvernent la psychologie sociale.

En résumé : « dans la masse l’hétérogène se noie dans l’homogène ».

Pour Freud la cohésion de la masse n’est pas assurée par une prétendue pulsion grégaire mais est sous-tendue par un lien libidinal :

« Quand l’individu abandonne sa particularité au sein de la masse, et se laisse suggestionner par les autres, il le fait parce qu’il a en lui un besoin d’être en bonne intelligence avec les autres plutôt qu’en conflit avec eux donc peut-être même « par amour pour eux ». Mais si l’amour est le fondement du lien de toute masse, ce n’est pas dire que la vie sociale soit un paradis et baigne dans un amour sans limite. »

Freud constate aussi que si l’exigence ou la protestation d’amour est hautement affichée, elle vient en fait masquer, dénier ou réprimer des impulsions hostiles et violentes qui vont se déchaîner sitôt que la masse se défait. (ou est en crise comme l’évoquera plus récemment René Girard).

Autrement dit, non seulement la masse contient ou couvre le fond de haine en l’homme, mais en un sens elle le révèle et le déchaîne à proportion de la ferveur qui l’avait mobilisé.

Ainsi ce n’est pas le nombre qui fait la masse mais une foule qui ne devient masse qu’en vertu des liaisons affectives établies en son sein, liaisons qui attachent chaque membre au meneur et du même coup les membres les uns aux autres et suggèrent que la présence d’un meneur est indispensable et comme inhérente à l’essence de la masse. Or justement la formation d’une masse signe la disparition de cette intolérance entre individus (cf histoire des porcs-épics telle que la cite en exemple le philosophe Schopenhauer) qui marquent leurs petites différences (cf l’ouvrage de Baldwin : Le Narcissisme des petites différences puisque les hommes s’y conduisent comme s’ils étaient similaires, se supportent aisément sur un pied d’égalité sans aucun sentiment d’aversion mutuelle, et que l’entrée dans une masse consacre l’effacement ou la dévaluation des distinctions et différences.

C’est donc à rebours du narcissisme que la formation en masse procède à la désactivation de ce qui distingue/différencie chacun et à la réactivation de ce qui assimile. Il s’agit donc d’expliquer cet effacement apparent de l’amour-propre au point que pris dans la masse chacun en vient à contrarier sa nature en perdant de vue son avantage propre, et en le sacrifiant à l’intérêt collectif.

Cela pose la question de savoir comment l’objet peut en venir à éclipser le moi. C’est ainsi que Freud fait remonter son analyse en deçà du narcissisme et du choix d’objet jusqu’au processus d’identification qui pourrait pour lui soutenir l’un et l’autre.

Cette interrogation ouvre le champ à l’analyse du moi, « lequel moi non seulement n’est plus maître dans sa maison mais de plus n’est pas originaire mais se compose par construction à partir d’éléments décomposables résultant d’une préhistoire puis d’une histoire qui peuvent rendre compte de divers modes d’investissement produits par divers types d’identifications ».

Freud fait sur ce point de « l’identification au père » la forme la plus précoce et la plus originaire du lien affectif puisque, dans la préhistoire du complexe d’Œdipe, il considère qu’au désir d’être (de s’identifier) comme le père correspond et s’ensuit le désir d’avoir la mère : Le père est pris comme idéal et/ou comme modèle alors que la mère est prise comme objet. Freud se pose donc la question : « comment penser la constitution du sujet ou procéder à une analyse du moi ? ».

L’identification témoignerait d’un certain rapport à l’Autre en l’occurrence le rapport au père comme idéal, plus originaire que le rapport à la mère et du coup investie comme objet.

Cette identification vient ancrer fondamentalement l’investissement capturé par l’Autre et implanter chez le sujet un désir intrusif qui vient se saisir (l’autre saisit le moi) des pulsions constitutives du sujet.

Pour Freud c’est ainsi que s’est constitué un réservoir narcissique dont vont procéder ou dériver tant la libido du moi que la libido d’objet. Moyennant quoi la formule de la constitution libidinale de la masse devient pour Freud :

Une masse est un ensemble d’individus ou de sujets psychiques non pas précisément qui ont le même Autre mais « qui ont mis le même objet à la place de leur idéal du moi, pour qui le même objet fait figure d’Autre à qui se dévouer inconditionnellement… permettant une limitation du narcissisme… abolissant les différences et la séparation d’avec les autres qui se reconnaissent aussi comme également affectés par l’Autre à qui ils peuvent accorder une empathie sans limite.

Quelques clefs apportées par René Girard :

On peut partir du constat que notre monde actuel, marqué du sceau de la mondialisation, se présente comme de plus en plus homogénéisé, homogénéisé au sens d’uniformisé à la mode occidentale, mais du coup frustré du fait du résultat de la confrontation des cultures et du triomphe plus que relatif du modèle occidental face aux autres cultures. Chacun considère maintenant à tort ou à raison que c’est le fruit d’une action globale menée par des élites cosmopolites, mondialisées et libérales pour le plus grand bien de tous, alors que cette évolution se fait en réalité surtout à l’encontre de la population mondiale, d’où le fait que celle-ci se sente actuellement de plus en plus sévèrement privée du profit du progrès tant promis et attendu : On assiste de plus en plus à une véritable épidémie du ressentiment et de la rage populaire se traduisant par un retour aux tendances communautaires et communautaristes et de la nostalgie vis-à-vis de leaders charismatiques, narcissiques et populistes.

C’est ici que la vision girardienne est intéressante pour montrer que la montée de l’individualisme et du désir mimétique peut apporter des explications et des éclairages utiles dans nos sociétés mondialisées et cosmopolites au sein desquelles l’élite peut avoir le sentiment de participer à la fête et au festin du progrès, là ou les masses populaires considèrent qu’elles ne reçoivent pas ou plus leur part et se sentent toujours plus uniformisées, rabaissées et frustrées.

C’est là que le concept du désir mimétique prend toute sa valeur explicative au sein de cet océan d’individualisme. Selon Girard, tout désir est l’imitation du désir d’un autre et loin d’être autonome comme le croit l’illusion romantique, notre désir est toujours suscité par le désir d’un tiers – le modèle le plus souvent – vis-à-vis d’un objet quel qu’il soit. Notre postulat d’autonomie individuelle nous incite à croire que le modèle désire par lui-même. Tout désir est pour lui imitation du modèle auquel est attribué un certain prestige et par conséquent une autonomie. À travers l’objet, c’est le modèle, le médiateur, qui attire, et ce désir se différencie foncièrement du besoin instinctuel dans la mesure même ou tout désir est en fait un désir d’être (comme le modèle-médiateur), sorte d’aspiration à la plénitude ontologique du médiateur auquel on prête cette autonomie qui du coup prend un caractère infini, autrement dit, impossible à satisfaire.

Cette mise en évidence du désir mimétique amène Girard à s’interroger sur une violence anthropologique qui conduit l’homme à développer avec une facilité extrême une rivalité mimétique à partir des conflits suscités par l’appropriation des objets. Il note de plus que cette rivalité est contagieuse et risque d’accroître la violence à tout instant jusqu’à la crise qui ne peut se résoudre que dans le mécanisme victimaire, c’est-à-dire la désignation d’une victime émissaire. Enfin cette victime désignée à la vindicte collective est sacrifiée à l’acmé de la crise mimétique, et devient ainsi sacrée, ou cause sacrée pour la masse, car pourvue du pouvoir symbolique et prodigieux de déchaîner la crise en même temps que capable de ramener la paix.

Pour caricaturer : Freud met en avant le lien libidinal là ou Girard met en avant le désir mimétique.

Pour conclure :

Et si ces deux perspectives n’étaient que les deux facettes d’une même pièce ?

La conjonction actuelle d’un grand sentiment d’insécurité des peuples en rapport avec le rejet de la science et de la mondialisation, avec un grand individualisme et un rejet du futur par l’individu postmoderne qui veut s’accomplir dans le présent, cette conjonction pour ne pas dire collision n’aboutit-elle pas à des comportements collectifs de délégation extrême du narcissisme individuel et de masse sur des leaders charismatiques eux-mêmes confrontés à la postmodernité et conduits à entraîner le monde vers la régression et l’illusion de la toute-puissance pouvant conduire au pire (la crise mimétique pour parler comme Girard) ?

Jean-François Allilaire

Tags: conservatismeleaders politiquesnarcissisme
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