Qu’ils viennent de l’Organisation mondiale de la santé ou des autorités américaines, aucune des dernières études par rapport aux origines biologiques du Coronavirus, n’offre la possibilité de confirmer l’un ou l’autre des éventualités : accident dans un laboratoire ou arrivée naturelle du nouveau Covid-19. Il faut savoir que plus le temps s’écoule, plus il y a dispersion des origines biologiques. Pour rappel, le SARS-CoV-2, virus de la Covid-19, a provoqué la plus grande pandémie des cent dernières années.
Origine biologique du Covid-19 : en savoir plus sur ses origines est primordial
Comme le disent une multitude de médias, fin août dernier les agences de renseignement américaines ont donné au président américain Joe Biden les conclusions de leurs travaux sur la survenue de la pandémie. Si on se fit à un compte-rendu préliminaire apparu dans le célèbre journal du New York Times, rien n’offre encore la possibilité de définir si la propagation du virus est la suite d’un accident de laboratoire ou si le virus est apparu naturellement via une transmission animal à humain.
Si la possibilité d’une fuite en laboratoire est une possibilité à explorer (si les spécialistes peuvent le prouver scientifiquement), elle ne doit pas effacer l’autre éventualité qui, si l’on se sert des données actuellement présentes, devrait utiliser la totalité de notre énergie … Effectivement, comme dit plus haut, la montre joue contre l’enquête : plus le temps passe, moins les experts pourront définir les origines biologiques du Coronavirus.
Six recommandations pour la suite de l’enquête
Plusieurs experts (six exactement) s’étaient rendus dans la ville de Wuhan en tout début 2021 par rapport à une enquête de l’Organisation mondiale de la santé dont le but était d’apporter des réponses à l’interrogation de l’origine du SARS-CoV-2. Nous avons constaté que les preuves disponibles indiquent bien que la pandémie a commencé après une transmission « zoonotique » du virus, ce qui veut dire que l’animal l’a transmise à l’être humain.
L’enquête a débouché sur un rapport, apparu courant de cette année, où une multitude de conseils par rapport aux travaux à effectuer sont donnés. Il se révèle être urgent de faire des études scientifiques qui donneront la possibilité de mener ces derniers parfaitement.
Fin août, avec des rédacteurs de ce rapport, un article est apparu dans la réputée et sérieuse revue Nature. Cette dernière confirme les dires du dessus. Le temps dans cette affaire est extrêmement précieux et doit servir à optimiser six axes de recherche dans le but d’en savoir plus sur l’origine du Covid-19.
Quels sont les axes majeurs des études ?
Le premier point concerne les études de traçabilité additionnelles, qui utilisent les rapports initiaux ayant révélé l’existence de la maladie.
Le second point concerne les enquêtes dont le but est l’étude des anticorps particuliers du SARS-CoV-2 conçus par les personnes malades résidant dans les zones où sont survenues les premiers cas de Covid-19. Cet aspect se révèle être essentiel puisque dans beaucoup de pays (Italie, France, Espagne ou encore Royaume-Uni), les preuves qui auraient offert la possibilité d’apporter des preuves par rapport aux situations des détections précoces du Covid-19 ne se sont pas montrées pertinentes et concluantes.
Il y a également les enquêtes de traçabilité effectuées dans les communautés qui avaient des relations avec les fermes d’élevage d’animaux sauvages qui étaient de véritables fournisseurs pour les marchés de Wuhan ont la plupart du temps donné des preuves non pertinentes de la détection précoce de la maladie.
Ensuite, il y a aussi les études dont le but est de définir les dangers incarnés par les éventuels animaux hôtes. Cela peut être l’hôte primaire (c’est le cas des chauves-souris), d’hôtes secondaires ou d’animaux ayant joué la fonction d’amplificateurs.
Puis, on trouve les analyses poussées des facteurs de danger des flambées précoces, où qu’elles soient survenues. Enfin, n’oublions pas également le suivi de toute nouvelle éventualité fiable.